BBIOGRAPHIE

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CUYD est un duo Rock français de la région du Grand Est (Châlons en Champagne).

Tout commence en 2018 avec Rob, l’ancien chanteur du groupe « L'Autre Côté ». Auteur-compositeur-interprète, il a voulu donner naissance à un projet solo pour exploiter un côté musical personnel qui lui tenait à coeur. Multi-instrumentiste, avec des influences variées allant de la new wave au rock, il exploite des riffs de guitares multiples, des lignes de basses floydiennes, mélangées de synthés numériques ou analogiques. Les textes sont en français et traitent souvent du ressenti et des sensations. Le temps, la solitude, la face cachée de soi sont des thèmes qui lui sont chers. Il aborde également des sujets plus sensibles comme la religion, la guerre en opposé à des sujets plus divers comme l’attirance ou l’art.
Novembre 2018, il sort son 1er album « derrière le mur ». Composé de ces 7 premiers titres, il est arrivé à créer sa propre identité sonore. Volontairement en marge des standards musicaux sans vouloir non plus s’en écarter de trop, il a créé son propre univers dans lequel on découvre les multiples facettes de cet artiste.
Courant 2019, il adapte ses chansons pour des concerts et showcase et CUYD se transforme en duo avec l’arrivée de Leslie à la basse et au chant. Un rock intimiste, alternant des compos calmes et des morceaux plus puissants
Fin 2020, le groupe fait une longue pause de 2 ans.
Début 2023, CUYD revient sur le devant de la scène avec son 2ème album

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NNouveautés

Merci public

CCONCERTS

PROCHAINEMENT


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Samedi 06/04/2024

Showcase - Cultura - Cormontreuil
A partir de 14h00

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Vendredi 21/06/2024

Fête de la musique - Courtisols
Parc Massez
A partir de 19h00


--- en cours d'actualisation ---


Concerts passés :

* Samedi 23 février 2024 - 1ère partie de Silda - Showcase Carrefour - Châlons en Champagne

* Vendredi 19 janvier 2024 - Royal Comedy Club - Reims

* Vendredi 15 décembre 2023 - L'Échapée - Châlons en Champagne

* Vendredi 17 novembre 2023 - Dropkick - Reims

* Samedi 21 octobre 2023 - Orge et Houblon - Saint Dizier

* Jeudi 10 août 2023 - Shop and bières Sacobri - Châlons en Champagne

* Mercredi 21 juin 2023 - Fête de la musique - Châlons en Champagne

* Samedi  3 juin 2023 - Les terrasses du Warcan - ILLY

* Vendredi 19 mai 2023 - Dropkick bar - REIMS avec Kétijo

* Samedi 15 avril 2023 - Festival  ROCKENSTOCK 13ème edition - Châlons en Champagne

* Jeudi 6 avril 2023 - Festival La décale - Organisé par les Gadzarts - Châlons en Champagne

* Vendredi 3 Mars 2023 - Speedmeeting des musiciens - Châlons en Champagne

* Samedi 25 février 2023 - Le clos Saint Martin - Courtisols

* Samedi 14 juillet - Fête nationale - Parc Massez - Courtisols

* Samedi 21 juin 2022 - Fête de la musique - Parc Massez - Courtisols

* Samedi 18 juin 2022 - Concert privé

* Samedi 17 octobre 2020 - Le Clos Saint-Martin - Courtisols

* Jeudi  5 novembre 2020 - Shop&bière Sacobri - Châlons en Champagne

* Samedi 1 aout 2020 - Festival Musique d'ici et d'ailleurs  - Châlons en Champagne

* Jeudi 23 avril 2020 - Shop & Bières Sacobri - Châlons en Champagne avec N.A.N (Not A Number)

* Samedi 21 mars 2020 - Dropkick Bar - Troyes  avec N.A.N (Not A Number)

* Vendredi 21 Février 2020 - La table d'Arthur (excalibur) - Reims

* Vendredi 31 janvier 2020 - Comptoir de la licorne - Châlons en Champagne - Speed Meeting Musique (Musique sur la ville)

* Samedi 14 décembre 2019 - Concert privé (complet)

* Samedi 12 octobre 2019 - La cantine du 111 - Châlons en Champagne  avec Baron Nichs & la Bouquinerie solidaire

 

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Pour programmer un concert de CUYD, merci de contacter contact@cuyd.fr

(possibilités de contrat sous Guso ou par biais associatif  - Association L'oeil du Triangle)

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NNouveau Single


"Au nom de quoi

Composé il y a plusieurs années, ce titre a été réarrangé et remasterisé fin 2023. Il aborde le thème de la religion au sens large et de l'endoctrinement, permettant ainsi son existence. ... Ni dieu ni maître..

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  • Single : Au nom de quoi
    Parution : décembre 2023
    Mixage & Mastering :
    Guillaume Cretté

    Distributeur : CdBaby (USA)
    Déposé SACEM

        01) Au nom de quoi (4.35)
       

DÉCOUVREZ LE SINGLE EN EXTRAIT


SINGLE EN ÉCOUTE SUR LES PLATEFORMES :

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2Deuxième ALbum


"Les lumières sombres

"Les lumières sombres" deuxième album de CUYD. Après une phase d'écriture puis d'enregistrements terminés en 2020, la pandémie et des aléas personnels du chanteur ont repoussé la sortie de l'album pendant plus de 2 ans. Sorti début 2023,  ce double album de 15 titres est dans la lignée du 1er album, avec une touche de rock en plus.

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  • Les lumières sombres Parution : Janvier 2023
    Mixage & Mastering :
    Guillaume Cretté

    Distributeur : CdBaby (USA)
    Déposé SACEM

        CD1:
        01) Les ombres (3.56)
        02) Les échos oubliés (3.44)
        03) Réveille-toi (3.45)
        04) Le sang (4.07)
        05) Les passants (5.02)
        06) Toi & moi (4.11) en duo avec Emilie Caré
        07) Ne sois pas triste (4.11)
        08) Engaged systems (sigur version)  (3.16)
        CD2:
        09) Alice (3.55)
        10) La rivière (3.52)
        11) L'etranger (4.04)
        12) Tu écris (4.39)
        13) On attend (3.33)
        14) Machine (2.35)
        15) Bonus : Engaged systems (Tech version) (2.44)

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TEASER SORTIE ALBUM

TEASER SORTIE ALBUM


ALBUM EN ÉCOUTE SUR LES PLATEFORMES :

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1PREMIER ALBUM


"Derrière le mur"

Premier album de CUYD,  est disponible en version CD ou digitale. Egalement en écoute sur les plateformes de streaming.

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  • Derrière le mur Parution : Octobre 2018
    Mixage & Mastering :
    NTC Prod @Samuel Abraham

    Distributeur : CdBaby (USA)

    Déposé SACEM & SNAC
    1) Illusion (2.58)
    2) Les yeux noirs (3.31)
    3) Du bout des doigts (4.41)
    4) Bloc 9 (4.02)
    5) Dans ma tête (4.41)
    6) Tu danses ( 3.43)
    7) Jersey (7.09)

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TEASER SORTIE ALBUM

 
ALBUM EN ECOUTE SUR LES PLATERFORMES :
 
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AACHATS

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L'Album Physique est disponible chez Leclerc Fagnières (51)

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CCLIPS / VIDÉOS


Du son à l'image ...

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Le sang

  • "Le sang" en live au Royal Comedy Club à Reims (Janv 2024)
    Remerciements : Claude Chounlasane et Charline Sourd à la vidéo, Guillaume Cretté au son et Timoé Stepanoff à la lumière.

L'étranger

  • Un clin d'oeil à Albert Camus et à The Cure - Killing an Arab. Le jugement des hommes non sur les faits mais sur leurs perceptions  et l'amalgame de la misanthropie...
    Année : 2023
    Réalisation : Rob et Leslie
    Remerciements : Morgane et Charline S.


Live Rockenstock 2023

  • "La rivière" en live au festival Rockenstock 2023 - 13ème édition au cirque historique de Châlons en Champagne
    Remerciements : Fabrice André


Réveille-toi

  • Depuis la pandémie, beaucoup d'entre nous ont décidé de changer de vie, de travail et d'améliorer son quotidien.
    C'est également un autre regard que nous portons désormais sur les médias ...

  • Année : 2023
    Réalisation : Rob et Leslie
  • Remerciements : Stéphanie et Vincent G.


Bloc 9

  • Référence à la 2ème guerre mondiale, il fait face hélas à la triste réalité des horreurs en Ukraine aujourd'hui ...

    Année : 2019
    Réalisation : Rob
    Avec Melle L
    Remerciements : Leslie Sourd et Charline Sourd


Les yeux noirs

  • J'ai révé que ce n'etait qu'un rêve

    Année : 2019
    Réalisation : Leslie Sourd & Rob
    Avec Emilie Caré-Dervin
    Remerciements : Leslie Sourd, Emilie Caré-Dervin
    Pascaline Watier, Julie Stringer, Stéphanie Lair-Leclercq
    La mairie de Châlons en Champagne et sa direction de la culture
    Samuel Abraham, Sandra Gadret


Illusion

  • Les dieux ont été crée par l'homme et non l'inverse

  • Année : 2018
    Réalisation : Rob & Leslie Sourd
    Aide technique : Morgane & Charline
    Remerciements : Vincent & Stéphanie G.


TTITRES


L'ensemble des titres de CUYD et de leurs textes.

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Tu fais le vide dans ta tête et tu attends
Entre le doute, la joie la peur, à cet instant
Paralysée, figée dans le temps

Tu te décides et tu avances sur la scène,
sous la lumière des projecteurs qui t’entraîne
Les battements de ton cœur qui se déchaînent

juste quelques pas (x2)

juste quelques pas qui s’enchaînent
Juste quelques pas qui t’emmènent

chassé, piqué, plié, battu, fondu
jeté, coupé, fouetté ou échappé

Et tu danses, tu dessines avec ton corps tout en nuances
Et tu danses, tu t’évades sur les accords avec aisance.
Et tu danses

Et tu danses, tu dessines avec ton corps tout en nuances
Et tu danses, tu t’évades sur les accords avec aisance
Et tu danses, tu dessines dans tes mouvements la délivrance
Et tu danses, tu t’évades hors du temps, toute en confiance
Et tu danses

Action, média ou vérité non je n’y crois pas
Il y a tant à faire
Action, média ou vérité juste la misère
Et la pauvreté des pensées
Endoctrinement, lavage de cerveau
Pour un monde où tout est beau

Ils appellent ça un paradis, moi j’appelle ça vivre en enfer
Illusion, mensonge, la peur, répression
Faveur, pouvoir, la peur, obsession
Fétichisme, religion, sacrifice, régression
Non moi je n’y crois pas

Adorez-moi
Croyez-en moi
Adorez-moi,
Je n’y crois pas,
Je n’y crois pas.
Croyez-en moi.

Action média ou vérité non je n’en veux pas,
Il y a tout à refaire,
Action média ou vérité, les erreurs de nos pères,
Qui se sont laissé faire,
Le dormeur doit se réveiller,
Je répète, « les dormeurs doivent se réveiller ».

Sur des écrits indéfinis ils n’ont créé que des cimetières,
Chimères, simulacre, la peur, punition,
Sévices, pouvoir, la peur, exclusion,
Je n’adhère pas à vos pensées,
Je ne suis pas endoctriné,
Non moi je n’y crois pas.

Adorez-moi
Croyez-en moi
Adorez-moi,
Je n’y crois pas,
Je n’y crois pas.
Croyez-en moi.

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J’ai loupé le virage, situation diluvienne
se retrouver sous l’orage et se noyer dans sa conscience
j’ai loupé le virage, de ta faute , tu es partie
se retrouver sous l’orage, juste le bruit assourdissant

C’est un endroit secret où la raison se créait
Je lutte pour choisir entre elle et le désir
et jouer des interdits, se dire qu’on a compris
on en oublie qui on est
on en oublie ce que l’on fait

Et jouer des interdits
se dire qu’on a compris
Pour oublier qui on est
pour oublier ce que l’on fait

C’est un monde sans couleur
Sans angoisse et sans peur
Où le temps s’arrête

C’est le noir qui est blanc
Reflets de sentiments
Tout au fond, tout au fond de ma tête

Des peintures, des envies
Des cicatrices aussi
Sur les murs, dans les pièces

C’est un peu toucher l’âme
Sans entendre l’alarme
Tout au fond, tout au fond de ma tête

C’est un peu toucher l’âme
Sans que sonne l’alarme
Tout au fond, tout au fond de ma tête


C’est mettre à nu les âmes
en un seul coup de lame
Tout au fond, tout au fond de ma tête

C’est faire saigner mon âme
sans que coule la larme
Tout au fond, tout au fond de ma tête

Des images qui se battent
Ressortent les stigmates
Des jours sans artifices
Avec l’ennui et le vice

Des images qui te hantent
des images qui te vantent
de beaux jours à venir
Il ne faut pas s’enfuir
C’est un monde sans couleur
Sans angoisse et sans peur
Où le temps s’arrête

C’est le noir qui est blanc
Reflets de sentiments
Tout au fond, tout au fond de ma tête

Des peintures, des envies
Des cicatrices aussi
Sur les murs, dans les pièces

C’est un peu toucher l’âme
Sans entendre l’alarme
Tout au fond, tout au fond de ma tête

C’est un peu toucher l’âme
Sans que sonne l’alarme
Tout au fond, tout au fond de ma tête

C’est mettre à nu les âmes
en un seul coup de lame
Tout au fond, tout au fond de ma tête

C’est faire saigner mon âme
sans que coule la larme
Tout au fond, tout au fond de ma tête

De belles nuances au profond de la nuit
Cachent l’étrange qui vient par ici
Cette ambiance sombre tombe sur la ville                
sous la lune moribonde aux reflets qui vacillent

Allongée dans ton lit tout au fond du couloir
j’entends tous ces cris  je me fige  dans le noir
En ce soir de décembre c’est pourtant jour de fête
Une seule chose m’attend tout en-bas c’est la bête

C’est la loi du silence je suis face à des murs
On brise l’innocence on façonne mes blessures
Ils se taisent ils ont peur vérités interdites
Notable ou religieux et pouvoir politiques

C’est le dégoût la haine La justice à genoux
Ils ont laissé faire « ne dites pas que c’est nous »
On vous condamne sortez de vos tanières
passez de l’obscur à la lumière

Sois sage on t’a dit sois tranquille pour l’instant
Demain sera paisible si tu oublies ce moment
Surenchères dans l’horreur surenchères dans la peur
Et à jamais gravé cette phrase « je suis méchant »

Toi fille de rien, toi fille de personne
Abandonnée ici à l’avenir incertain
Tu murmures le pardon, vocifères tes prières
le caveau est scellé, à jamais sous la pierre

Et tu retiens ton souffles
Et je retiens mon souffle

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Qui es-tu ? où je suis, toi qui hantes mes nuits,

Que faisons-nous ensemble ?

Inconnue, si jolie, je me perds, je te suis,

Au fond de ce rêve étrange,


Tes yeux noirs, ton regard sombre où je plonge,

Je me noie, sans vraiment tout comprendre,

Tes yeux noirs, qui m’entraînent, qui m’emmènent,

Aucune loi quand tu t’empares de moi.


Tu me regardes, tendrement,

Commences à danser doucement,

Majestueuse et libérée, rien ne semble t’arrêter,

Y a du désir, y a de l’ivresse,

De la passion, de la tristesse.


Instants magiques que tu dessines avec ton corps je me sens libre,

Si harmonieuse et désirée, dans tes mouvements déhanchés,

Le temps s’arrête, n’a plus d’emprise,

Et sous ton charme je lâche prise

Tes yeux noirs…


Tes yeux noirs, ton regard sombre où je plonge,

Je me noie, sans vraiment tout comprendre,

Tes yeux noirs, qui m’entraînent, qui m’emmènent,

Aucune loi quand tu t’empares de moi.

... Instrumentale ...

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fab fa-centos

Tu penses ainsi, tu penses comme ça
Pourquoi ne penses-tu pas à moi
J’aimerais en rire, mais ne crois pas
que je vais rester là sans toi
Fais-moi signe ou dis-le-moi
De te toucher du bout des doigts

Ton regard ici, ton regard là
Je voudrais juste tes yeux sur moi
Gestes incertains, tu vas et tu viens
Je m’imagine contre tes reins
Dis, crois-tu que j’aie le droit ?
De te toucher du bout des doigts.

Dans tes pas, juste derrière toi,
mon Amour, mon ange, mon Amour, mon ange
Dans tes pas, juste derrière toi,
mon Amour, mon ange, mon Amour, mon ange

Sur ton corps, juste ton odeur,
Parfum magique aux milles saveurs,
Qui m’emmène de l’autre Côté
Au plus profond de mes pensées
Où je sais que j’ai le droit
De te toucher du bout des doigts

Et soudain, sans comprendre
Je me suis laissé surprendre
tu t‘es lentement approchée
Le souffle court, le doigt posé
Sur mes lèvres, en me disant
hé toi
viens me toucher du bout des doigts

Tu penses ainsi, tu penses comme ça
Dans tes pas, juste derrière toi,
Pourquoi ne penses-tu pas à moi
mon Amour, mon ange, mon Amour, mon ange

J’aimerais en rire, mais ne crois pas
que je vais rester là sans toi
Fais-moi signe ou dis le moi
De te toucher du bout des doigts

Dans tes pas, juste derrière toi,
mon Amour, mon ange, mon Amour, mon ange
Ton regard ici, ton regard là
Je voudrais juste tes yeux sur moi
Dans tes pas, juste derrière toi,
Gestes incertains, tu vas et tu viens
Je m’imagine contre tes reins
mon Amour, mon ange, mon Amour, mon ange

Dis, crois-tu que j’aie le droit ?
De te toucher du bout des doigts.
Dans tes pas, juste derrière toi,
Dis, crois-tu que j’aie le droit ?
De te toucher du bout des doigts.
mon Amour, mon ange, mon Amour, mon ange

Tu te poses et regarde les passants
Dans la foule qui marche droit devant
Analyse de la nature humaine
Peinture de genre, tu figes la scène

Il y a le regard effacé
De l’inconnu oublié qui se tait
Sans passé, et sans avenir
Invisible dans nos souvenirs

Il y a des visages qu’on connaît
Images floues  ou simples reflets
Juste des mots au bord des lèvres,
Cela ne pouvait être qu’un rêve

Il y a des beautés fatales
Qui révèlent ton côté animal
Quand certaines parfois en abusent
D’autres deviennent tout simplement
Des muses (x2)

Il y a un peu de toi dans tout ça,
Un peu de nous, un peu de vous, moi je crois
De toute façon, c’est du pareil au même,
Ça s’appelle la condition humaine

A tous ceux qui sont comme moi
Restez libres, loyaux et droits
Les autres ont peur, ils tournent le dos
Ils sont lâches, l’angoisse dans la peau.

Les hommes ne sont pas tes semblables
Ils sont ceux qui regardent et condamnent
Tes semblables sont ceux qui t’aiment
L’amitié n’est pas un dilemme

Il y a de grands prédateurs,
Religieux ou petits dictateurs
Ignorant le sens de la vie
Et qui t’imposent leurs pires mépris

Les hommes ne sont pas tes semblables
Ils sont ceux qui ont peur et s’acharnent
Tes semblables sont ceux qui t’aiment
L’amitié n’est pas un dilemme

Il y a un peu de toi dans tout ça,
Un peu de nous, un peu de vous, moi je crois
De toute façon, c’est du pareil au même,
Ça s’appelle la condition humaine

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fab fa-centos

Il fallait traverser la rivière
Et ne pas regarder en arrière
Il fallait avancer droit devant
Toucher du bout des doigts l’océan

Il fallait traverser la rivière
Un soir sans lune
Et franchir la lisière des rêves
S’enfoncer dans l’eau sombre, et glacé
Sentir sa peau et ses os se geler


Et oublier cette sombre envie
Ces noirs désirs, et rester calme et tranquille
Calme et tranquille, comme il disait.
La tête haute, le regard  vide, les yeux humides
Et tomber où coule l’acide, où coule l’acide

Mais il fallait traverser la rivière
Sans penser, sans contester
Juste une vie à fabriquer
Il fallait traverser la rivière
Abandonner son passé


Mais il fallait traverser la rivière
Sans crier, sans contester
Une nouvelle vie à s’imaginer
Mais il fallait traverser la rivière
La rivière est une jungle, une montagne,
Ou un désert.
Ce n’est que la frontière de nos enfers

On attend sagement, que tout passe, sans rien dire
On attend, on regrette, dans l’angoisse, les souvenirs
Pourquoi je n’t’ai pas dit que tu étais si sexy
Quand j’étais près de toi , non, je n’ai pas osé et tant pis

Repartir en Arrière
Ne pas refaire les fautes d’hier
Aller droit en avant
Je sais ce qu’il faut faire maintenant


On attend en silence et on freine, nos envies
On attend à tel point, mais que deviennent, nos jalousies
Elles sont là, elles grandissent et elles sèment l’anarchie
Dans nos cerveaux malades, un beau bordel qui se construit.

Repartir en Arrière
Ne pas refaire les fautes d’hier
Allez droit en avant
Je sais ce qu’il faut faire maintenant

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fab fa-centos

Vivre dans ce monde artificiel
Mais où est donc la vérité
Et moi je rêve d’un arc-en-ciel
Où ma conscience peut s’évader

A la recherche de la lumière,
Dans cette cellule capitonnée
Comme attiré par les enfers
Ils veulent effacer mon passé

Juste leurs voix là dans ma tête
Limpides, diffuses ou déformées
J’aimerais bien qu’elles s’arrêtent
De me hanter la nuit tombée

A la recherche de la lumière,
Dans cette cellule capitonnée
Comme attiré par les enfers
Ils veulent effacer mon passé
(Juste leurs voix là dans ma tête)

Sentir le temps qui passe
Rêvant de liberté (Alice)
Et mon sang qui se glace
Quand je suis éveillé (Alice)

Survivre dans cette vie artificielle
il n’y a personne pour m’aider
Le tonnerre gronde dans le ciel
Ils font semblant de m’écouter

Petite pilule à avaler
Le lapin blanc vient me chercher
Alice tout au bout de mes rêves
Ne plus penser à respirer

Prisonnier de ces 4 murs
Assis, épris de liberté
Besoin de soigner mes blessures
Rompre mes liens pour m’échapper

Petite pilule à avaler
Le lapin blanc vient me chercher
Alice tout au bout de mes rêves
Ne plus penser à respirer
(Juste leurs voix là dans ma tête)

Sentir le temps qui passe
Rêvant de liberté (Alice)
Et mon sang qui se glace
Quand je suis éveillé (Alice)

 

Oui c’est la fin, ne sois pas triste
Nous c’est terminé, mais rien n’est terminé
Oui, c’est la fin ne sois pas triste
Aucun regret, on se connaît

On s’en est allé, sans se retourner
Sans se déchirer, on a jeté les clés


Oui c’est la fin ne sois pas triste,
On a joué mais on a mal donné
Oui c’est la fin, ne sois pas triste
La roue a tourné, et les dés sont lancés

On s’en est allé, sans se retourner
On se souviendra, de ces moments là



Oui c’est la fin, ne sois pas triste,
J’étais parfois, l’homme que tu n’voulais pas
Mais si c’est la fin et si j’insiste,
La vie sans toi, ce n’était pas mon choix

On s’en est allé, sans se retourner
Sans se déchirer, on a jeté les clés
On s’en est allé, sans se retourner
On se souviendra, de ces moments là

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Je t’ai regardée sourire                                
Tes 1ers mots, 1er fou-rire                  
Tes petites mains en avant
Papa, câlins tout l’temps

Je t’ai regardée grandir                    
1ères histoires et souvenirs              
Tes cheveux dans le vent
L’ère d’un nouveau temps

Tu découvres, tu écris
Tu tournes les pages de ta vie
Je commence, je finis                       
Lentement les chapitres de ma vie  


Je t’ai vue rêver                                
Te construire des secrets
Quelques baisés volés
Des silhouettes effacées

Les années ont passé            
Ecole, collège, lycée
Et tes amis changé                            
Recherche affinités                           

Et bientôt, tu partiras
De loin, veiller sur toi,                       
Et bientôt, tu t’envoleras 
Vers des endroits, penser à toi         


Tu découvres, tu écris
Tu tournes les pages de ta vie
Je commence, je finis                                   
Si rapidement les chapitres de ma vie

Le soir quand vient la nuit, remonte le goût amer
Tes pulsions, tes envies, tu n’veux plus y penser
Les lumières éphémères, réveille celle qui te nuit
Ton rythme s’accélère, un instinct de survie

Les hommes te regardent, sans savoir qui tu es
Ils tombent sous ton charme, des proies hypnotisées
Les hommes qui s’attardent et tu cherches qui tuer
Pour qui sera ta larme, seul signe de tes regrets

Coule le sang chaque nuit. Sans sentiment, damnation d’une vie
Coule le sang quand tu séduis
Oublié le passé, tout ce qu’ils t’ont fait                      

Souvenirs enfouis

C’est la folie qui s’installe, c’est la folie qui condamne
Et tu perds le contrôle
Frénésie acceptable ou maladie mentale
Et tu perds le contrôle

Coulera le sang cette nuit. Sans sentiment, damnation de ta vie
Coule le sang tu as séduit
Oublie le passé, tout ce qu’ils t’ont fait                      
Souvenirs enfouis
                                                            

fab fa-centos
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On se cache dans l’ombre
Pour garder ses secrets
A tel point d’oublier,
Tout ce que l’on voulait
Dans le doute et l’absence,
Dans la peur, les regrets
Il est temps que ça change,
D’accepter qui on est.

J’ai suivi ton exemple, je ne suis pas celle qu’on croit
Dans le laisser paraître, je ne me retrouve pas
Et même si ma main tremble, que j’ai peur de tout ça
Il n’est jamais trop tard, trop tard de croire en soi      

Partons vers l’inconnu,
Laissons ce qui nous tue
Prendre le choix la liberté
L’incertitude d’une vie
Que l’on n’ a pas choisie
Contempler l’horizon
Nouvelles destinations

Allez viens
Oublions ce monde étrange        
Allez viens
Nous ne sommes pas des anges
Nous ne sommes pas des anges

Toi et moi, au bout de la nuit
Aux limites de l’envie
Juste être ensemble
Toi et moi, si loin de l’ennui
Avec toi mon amie
Derrière nous les cendres

Toi et moi, à l’aube d’une nouvelle vie,
Aux limites de l’envie, droit devant sans attendre
Toi et moi, oublier ce que l’on fuit
Avec toi mon amie. Juste tout reprendre

Partons vers l’inconnu, laissons ce qui nous tue
Prendre le choix la liberté
L’incertitude d’une vie que l’on n’a pas choisie
Contempler l’horizon, nouvelles destinations


Allez viens
Oublions ce monde étrange        
Allez viens
Nous ne sommes pas des anges
Nous ne sommes pas des anges

Comment comprendre ce que tu es?
Donne-moi les mots
Te définir ce qu’est l’abstrait
Que tout est vrai, que rien n’est faux

Et si tu rêves c’est que tu es
Donne-moi tes mots
De tes pensées naissent tes traits
La vie 2.0

Comment définir la machine?
Où tout commence et se termine?
Comment comprendre la machine
Et que tout soit faux

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fab fa-first-order-alt

Je ne suis qu’un étranger
A vos croyances, à vos idées
Je ne suis qu’un étranger,
Qui marche sur le sable en toute liberté

Dans les limbes, je me perds
Dans ma façon d’aimer
Et si j’ai tout à refaire
Laissez-moi rêver.

Que dans les plaies, de nos âmes
C’est la folie qui nous gagne
Je subis vos regards
Qui me jugent, me condamnent

Je ne suis qu’un étranger
A vos chimères, que vous inventez
Je ne suis qu’un étranger,
Je ne plaiderai pas coupable de vos impunités

Dans le noir, la lumière,
Je me sens aveuglé
Après le calme, la colère
Laissez-moi rêver …
Laissez-moi rêver …

Ne le dis à personne, que je t’aimais
Et qu’en toi sonne encore, la mélodie du passé

Je repense à ces nuits, à ce goût de paradis
A ton corps près de moi, ta chaleur que j’aime ça!
A nos mensonges fatals, à nos désirs animal
Qui nous plongent dans l’extase,
Je me sens kamikaze

Je repense à ces jours, à ces moments d’amour
A ces courts instants, où je prenais les devants
Quand tu me disais «viens-là»
Je n’attendais que ça
Tomber les frontières abyssales
Pour nos envies bestiales

Ne le dis à personne, que je t’aimais
Et qu’en toi sonne encore, la mélodie du passé

Ne le dis à personne, que l’on s’aimait
Et qu’en moi tout résonne. Les échos oubliés
Les échos oubliés

fab fa-first-order-alt
fab fa-first-order-alt

Tout a changé, tu ne reconnais plus
Ce monde libéré, comme disparu
Y a tes idées, et l’inconnu
Fait prisonnier, c’est juste une mise à nu.
Tu n’en peux plus

Réveille-toi
Nous avons perdu nos rêves
Réveille-toi
Il est temps que tout s’arrête, que tout s’achève

Leur mentalité, tu n’en veux plus
Empoisonné, en continu
Envie de crier, tu te sens perdu
Les écouter, c’est la dérive absolue
Tu n’en peux plus

Réveille-toi
Nous avons perdu nos rêves
Eveille-toi
Il est temps que tout s’arrête, que tout s’achève

Réveille-toi
On reste là et on attend lentement que l’on crève
Nous avons perdu nos rêves
On reste là et on attend lentement que l’on crève
Réveille-toi
On reste là et on attend lentement que l’on crève
Il est temps que tout s’arrête, que tout s’achève

... Instrumentale ...

fab fa-first-order-alt
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Il est temps maintenant, d’affronter l’inconnu
Et d’aller de l’avant
Oublier les Jean cons, les petites ordures
Et les gens … en cols blancs

Le temps est venu, ce n’est que le début
Tu avances d’un pas confiant
Pour sortir du tunnel, la lueur t’entraîne
Vas regarder le ciel

Les lumières sombres, les lumières tombent
Parmi les ombres, je te vois

Le temps est venu, tu n’as plus de retenue
Eloigne-toi lentement
De ces endroits nocifs, de ces faux-positifs
De tous ces bien-pensants

Le temps est venu, tu reprends le dessus
Ils sont tous insignifiants
Retrouve tes valeurs, ton côté rêveur
Et ton âme d’enfant

Les lumières sombres, les lumières tombent
Parmi les ombres, je te vois                               

Et tu cours après les lumières sombres
Tu as peur de ne plus le savoir                        
Et tu cries, parmi les ombres
Mais ta voix ne traverse pas le miroir

Et tu cours après les lumières sombres
Tu as peur de ne plus le savoir                        
Tu criais, parmi les ombres
Mais ta voix ne traversait pas le miroir

A genoux pour être digne,
on t’oblige et tu t’inclines
On s’en prend à l’innocence,
dès le début de l’enfance
On t’apprend à oublier,
toutes les fautes du passé
Les erreurs d’aujourd’hui,
les idéaux n’ont pas de prix
Un jour quand tu seras grand,
tu apprendras à tes enfants
Comment se cacher derrière lui,
pour donner un sens à leur vie
Je ne peux pas comprendre,
au nom de qui, au nom de quoi
On entretient la souffrance,
pour préserver vos choix
Tu diras à ton dieu,
à ton roi de souffrir en silence.
Tu diras à ton dieu,
à ton roi de ne pas toucher A l’innocence.
Combien de morts, pour une vie,
à jamais le blanc est sali
Les gens condamnent les conséquences
Ils sont coupables d’ignorance
Tu dois apprendre que c’est ainsi,
la foi trahie et désunie
Ceux qui ont reçu des promesses,
et qui finissent dans la détresse
Dans le silence j’entends des cris,
des voix qui s’élèvent dans la nuit
Elles me rappellent qu’on a le choix,
On n’impose pas ce que l’on croit
Je ne peux pas comprendre,
au nom de qui, au nom de quoi
On entretient la souffrance,
pour préserver vos lois
Tu diras à ton dieu A ton roi
de souffrir en silence
Tu diras à ton dieu
A ton roi de ne pas toucher A l’innocence.

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